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AIKI DOJO MONTS
AIKIDO TRADITIONNEL
FONDATIONS TAMURA Sensei
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HUMOUR
Paroles de Pratiquant
Sabrina, 27 ans ceinture blanche,
Il y a longtemps que je souhaitais pratiquer un art martial. Et l'Aïkido est ce qui me correspondait le mieux dans son principe. Dans les 1er instant j'y est découvert "la discipline" ensuite une grande diversité de qualités. Depuis mes quelques cours je vie la discipline, le respect, l'attention, l'observation, l'apprentissage, la générosité, la confiance envers l'autre....J'ai beaucoup à apprendre. Savoir et ressentir ce qu'est l'Aïkido.
Michel , 41 ans, C.N. 2éme Dan :
L' aïkido est vraiment un art martial à part : basé sur des techniques efficaces et sur la non-résistance face à une attaque, il permet de retourner une éventuelle agressivité d' un adversaire à son détriment, sans esprit de vengeance, ni même esprit de compétition, ce qui parait un peu paradoxal vis à vis du monde dans lequel nous vivons aujourd'hui.
Puisant sa source dans le moyen âge japonais et résultat de l' oeuvre de toute une vie de son fondateur, Morihei UESHIBA (1883-1969), ce n' est pas sans raison que cet art martial s' est développé dans le monde entier depuis les années cinquante. Cela me semble dû à la richesse des notions essentielles qu' il contient, tant au niveau physique que mental, technique, martial, spirituel ... Parmi ces choses essentielles, j' en citerai simplement deux : la connaissance de soi et des autres et une faculté d' adaptation face aux situations, notions bien utiles que l' on retrouve sans cesse dans la vie de tous les jours.
Son apprentissage nécessite discipline, rigueur et concentration, sans pour cela que cela se passe dans une ambiance austère et ennuyeuse, au contraire. C' est une activité enrichissante qui demande implication et humilité et qui permet aussi parfois de s' extraire d' un quotidien qui peut sembler superficiel et approximatif à certains moments.
Stéphanie, 30 ans, 4ème Kyu :
Mon engagement dans la pratique de l’Aïkido est le fruit d’une aspiration ancienne, née à la fois de mon admiration pour l’efficacité et l’esthétique d’un art martial qui m’apparaît pleinement abouti, et de la sagesse, de l’équilibre ainsi que de la conscience de soi et des autres qu’éprouvent les aïkidokas.
L’expérience ne m’a pas déçue ! Car l’Aïkido se pratique et il se vit.
Dans cette technique de combat, il n’existe ni jugement ni rapport de force, mais un contact direct et sincère avec le partenaire dans le respect de son intégrité. Il n’est en effet pas utile de faire la preuve de sa supériorité physique, ni de se baser sur la défaite de l’adversaire, car de telles victoires sont illusoires. Le fait d’être petit, âgé ou bien portant, ou bien encore d’être une femme, n’est pas déterminant de vos possibilités de progression ni de votre efficacité. Seul un long et patient travail de pratique, de connaissance de soi et de perception des autres et de l’espace qui nous entoure permet d’évoluer. Cela nécessite beaucoup d’efforts - d’autant qu’« il est illusoire de prétendre contrôler un adversaire si l’on n’est pas capable de contrôler son propre corps » (Tamura senseï) -, mais aussi énormément de plaisir.
Ainsi, ma première année de pratique, durant laquelle j’ai tenté (tant bien que mal !) de maîtriser les outils les plus simples par la répétition des gestes enseignés, m’a déjà beaucoup apporté, ne serait-ce que de réapprendre à me tenir droite, signe d’un équilibre et d’une force physique et mentale retrouvés après une année professionnelle particulièrement difficile. L’aïkido a en effet largement développé mon énergie, ma combativité, mon bien-être et par là même mon envie d’apprendre plus encore et de comprendre aussi. Sans crainte, mais avec beaucoup d’humilité. Car je sais que, 4ème kyu, l’on ne peut encore avoir qu’une lointaine idée de ce qu’est l’Aïkido.
David, 28 ans, C.N. 1er Dan :
Il est très difficile de dire ce qu’est l’aïkido en dehors de la définition communément admise par la traduction littéraire des idéogrammes, car l’aïkido est pour les pratiquants bien plus que ça. C’est une sensation qui t’entoure et te pénètre jusqu’au plus profond de toi-même, t’amenant à aller toujours plus loin, toujours de l’avant. Bien que je n’aime pas trop décomposer le terme « aïkido », je vais te proposer un petit jeu pour te faire comprendre ce qu’il représente pour moi. Tu vas fermer les yeux et imaginer les trois scènes suivantes.
D’abord, tu t’imagines au cœur d’un champ de blé que longerait un ruisseau par une chaude après-midi de printemps. Une légère brise fraîche balaye les blés. Le visage tourné vers le ciel, les yeux fermés, tu ressens alors une douce chaleur qui est presque apaisante. Ainsi est « AI ».
Ensuite, tu t’imagines au cœur d’une forêt à flanc de montagne. Tu es en plein été, le soleil dans le dos, au pied de la chute d’eau d’un large torrent qui descend de cette montagne. Tu vois la chute s’iriser pour laisser apparaître un arc-en ciel. Tu ressens le tumulte de la chute qui gronde et de la vapeur d’eau qui rafraîchit l’atmosphère. Ainsi est « KI ».
Enfin, tu t’imagines en train de voler comme l’un de ces grands oiseaux qui parcourt les cimes, planant au gré des vents entre les cols. Puis, au détour d’une de ces escapades, tu vois arriver une montagne resplendissante des couleurs matinales que lui donnent le soleil. Une légère brume parcourt les pentes enneigées des pics puis semblant vibrer à l’unisson, tu t’élèves vers les nuages. Ainsi est « DO ».
Maintenant, un dernier petit effort et tu comprendras le but de tout cela.
Ferme les yeux et essaye d’imaginer ce que pourrait être cette vision en faisant vivre en toi ces images. Et si tu sens que cela t’interpelle au plus profond de toi, que tu vibres au rythme de celles-ci alors, tu viens de ressentir ce qu’est l’aïkido.
Jean-Michel, 50 ans (donc), C.N. 1er Dan :
Tranche de vie :
« Ne crois pas que tu t’es trompé de chemin, quand tu n’es pas allé assez loin »
Je pourrai résumer mon parcours par cette citation. Je ne savais pas quand, mais je savais que je remonterai sur un tatami. Voilà chose faite après une parenthèse de 15 ans.
Il y a de cela maintenant 20 ans j’esquissais mes premiers pas en Aïkido, durant 5 années, au sein du Dojo de Monts dirigé par Didier Cagnet alors 3ème Dan. Cinq années pleines, intenses, remplies de joies et de travail assidu pour aboutir à l’obtention du 1er Dan.
Puis vint cette interruption avec l’Aïkido, du moins dans son côté le plus manifesté (Yang). Je mesurais en effet au fil des années le bénéfice, l’enrichissement quasi quotidien dans ma vie, une présence indéfectible. C’est une période, je dirais de gestation, durant laquelle je pense avec modestie avoir fait un bout de chemin sur le plan personnel, empreint d’un savoir reçu ; et les années aidant
Effectivement, après avoir abordé les 50 ans et décroché cette fois-ci le grade de grand parent, à ce moment de ma vie, ayant scruté l’horizon, décision fut prise de retrouver l’essence même de l’Aïkido. Ceci correspond à mes yeux, à ce moment précis de mon parcours, à tendre vers l’essentiel.
Fallait-il encore rejoindre un enseignement pouvant répondre un tant soi peu à mes souhaits. Aujourd’hui j’ai porté mon choix, juste retour des choses, vers Didier Cagnet, mon enseignant d’il y a 20 ans, qui m’a initié. Son cheminement dans cette discipline, son dévouement, sa ferveur et son approche dans sa globalité, convergent vers la quintessence de cet art, de la vie.
Chaque instant de notre vie est fait de choix. Si notre choix n’est pas judicieux, si l’on manque notre but, on doit chercher la cause en soi-même.
« Le choix c’est la liberté ; l’espace c’est la liberté de l’esprit. »
Mikaël, 29 ans, 6ème kyu :
Pour ma part l’Aïkido est une pratique spirituelle. Le fait de travailler des techniques qui demandent une grande concentration libère l’esprit. Chaque séance est pour moi un moment privilégié où je me ressource. Ayant pratiqué différents arts de combat et étant attiré par toutes les choses qui touchent au spirituel, je m’épanoui dans la pratique. Car l’Aïkido est un art qui mêle ces deux choses.
Heureux de m’être engagé sur cette voie, je pense que je la suivrai pour longtemps.
Charly, 37 ans, 5er Kyu, 200 000 Cigarettes :
Fatigué de passer mes journées à m’enfumer et finissant par me fumer moi-même, je suis parti à la découverte d’un art martial dont on m’avait vaguement parlé. D’abord en spectateur, j’ai été impressionné par l’esthétique et la fluidité des mouvements.
Ensuite en pratiquant, j’ai pris conscience que la réponse à une action violente n’était pas seulement une riposte brutale mais qu’une agression pouvait être maîtrisée, atténuée et éteinte.
En avançant dans mon apprentissage, j’ai commencé à comprendre que cette dualité pouvait aussi s’appliquer à d’autres situations.
Fumeurs , cigarettes par exemple.
Au bout de plusieurs mois, aidé par l’activité physique, et motivé par l’enjeu ma consommation de cigarettes a été dans un premier temps maîtrisée, atténuée puis éteinte.
Actuellement, je ne fume plus et la cigarette des autres ne me gène pas non plus.
Lina, 26 ans, 4ème kyu :
L’Aïkido : l’art martial dans toute sa splendeur. Cette pratique appelée Aïkido signifie traditionnellement « la voie de l’harmonie ». Les techniques basées sur le centre du corps visent à développer le « ki »,cette énergie spirituelle qui traverse tout notre corps et le maintient. Tous les mouvements que comporte cet art martial aident à se déplacer, à se repérer, à prendre position dans la vie de tous les jours.
Pascal, 25 ans, 4 ème kyu :
Aïkido... Un mot, trois syllabes... J'ai connu cet art complètement par hasard grâce à un ami répondant au prénom de David. Un soir, vers 22 ou 23 heures, après une dure journée de travail, ce dernier me pose une question anodine : " Çà te dirait de faire de l'Aïkido ? ". Ne sachant pas à quoi je m'attendais, et ayant bien d'autres choses en tête, je lui répondis machinalement par un " oui " sans grand enthousiasme.
A ce moment là, l'Aïkido n'était pour moi qu'une simple activité physique comme une autre, sauf que çà se passait sur un tatami avec des gens en kimono.
Il y a maintenant un peu plus d'un an, je pris mes premiers cours. Résultat : des courbatures pendant une semaine !
Au fil de l'année qui s'écoulait, je m'efforçais avec plus ou moins de facilité et d'agilité à reproduire les mouvements que l'on me montrait. Pas facile. Durant cette année, ma vision de l'art que j'avais choisi se modifiait. Là où je voyais un simple sport de combat, je commençais à ressentir autre chose. Un art de vivre, un art qui se devait d'être présent ailleurs que sur un tatami.
Serge, 37 ans, 1er Kyu :
Cinq années de pratique et déjà des points positifs :
-du point de vue de l’organisme, travail en souplesse, maintien de la posture, gestion de la respiration : respect de son corps ;
-dans la vie quotidienne, l’Aïkido apporte une certaine sérénité, plus de calme, du recul face aux évènements ;
-lors de la pratique, on apprend à chaque cours : c’est enrichissant et très motivant.
Michel, 39 ans , CN 1er Dan :
L' Aïkido a été fondé par Morihei UESHIBA (1883-1969). Celui-ci fut inspiré par les meilleurs Maîtres d'Arts martiaux du Japon de l'époque (Écoles de Ju-Jitsu, d'Escrime traditionnelle). Technique de défense, l' Aïkido se pratique aussi bien à mains nues qu' à l'aide d' armes (bâton, sabre, couteau). Son développement n'a cessé de croître dans le monde entier depuis les années 50 et notamment en France plus particulièrement.
Art martial à part entière puisant sa source dans l'esprit traditionnel des Samouraïs, la discipline a évolué et s' est adaptée au monde moderne.
Chacun (homme, femme, enfant) peut y trouver ce qu' il recherche (confiance en soi , gestion du stress , respiration, activité physique , art martial, concentration ...). C'est aussi une école d'humilité où l'on apprend à mieux se connaître, à découvrir ses limites et aussi à les dépasser. La pratique permet ainsi un meilleur équilibre physique et mental et une meilleure connaissance de soi même et des autres.
On peut croire que la discipline est "facile" au premier regard, on s'aperçoit vite de son erreur. La "facilité" ne provient que d' une forte implication personnelle dans la pratique. Néanmoins la récompense est à la mesure des efforts fournis et l'on découvre vite une multitude de notions qui fait de cet Art martial une discipline à part, d' une richesse insoupçonnée.
Un seul regret jusqu' à présent en ce qui me concerne, ne pas l' avoir découvert plus tôt ...
Antony, 26 ans, CN 1er Dan :
Je pratique l’Aïkido depuis maintenant quelques années. Ayant réussi le passage de la Ceinture Noire l’année dernière, je m’aperçois que ce qui devait être le but de mon apprentissage ne représentait en fait qu’une étape dans ma pratique. L’Aïkido me paraît représenter plus qu’un sport ou une étude philosophique. Il m’imprègne jour après jour de son énergie comme s’il faisait partie de moi et moi de lui à chaque pratique. Il reste encore très flou dans mon esprit mais m’apporte malgré tout énormément de choses positives dans ma vie de tous les jours. Au travers des cours et autres exercices de nouvelles sensations apparaissent. Sans autre compétition que se maîtriser soi-même dans la connaissance de cet Art. Il est important de savoir se découvrir mais aussi découvrir les autres. C’est un art d’éveil mais aussi de fraternité.
Aïkido :
Apprentissage de l'efficacité
Initiation à la discipline et au respect des autres
Kaléidoscope de la vie
Infinie est la recherche
Difficile est la pratique
Où se rencontrent et doivent s'unir l'Orient et l'Occident
l'aïkido est (pour moi)..... un chemin de vie.
Nicolas , 33 ans, CN 2ème Dan :
Pour moi, l'Aïkido est une rencontre permanente avec les autres, bien sûr, mais aussi et surtout avec moi-même. Et malgré l'aspect martial, la douleur parfois, cette rencontre n'est pas un affrontement, c'est un partage, un échange. Et puis, l'Aïkido est une école d'humilité, tant je comprends souvent qu'il me restera toujours une infinité de choses à apprendre. Mais c'est passionnant !
Gilles, 36 ans, 2ème Dan :
La pratique régulière de l’Aïkido m’a apporté beaucoup. La confiance en soi en des périodes difficiles, et une stabilité psychologique dans des moments où on doute de ses propres capacités professionnelles et autres. Pour résumer je dirai que l’Aïkido au delà de l’activité physique bénéfique pour notre corps, enseigne également des fondements universels que nous retrouvons dans la vie de tous les jours.
Bruno, 49 ans, 2ème Dan :
Outre des apports immédiats, apparents et très concrets tels que forme physique, souplesse, endurance, apprentissage bien sûr de techniques martiales, l’Aïkido apporte une approche particulière et privilégiée du contact avec l’autre, en l’occurrence et en premier lieu le partenaire sans lequel le travail ne peut se faire.
D’abord on ne peut s’en passer, puisque par définition il s’agit d’une situation de combat. Mais il n’est pas question dans l’Aïkido d’opposition brutale ou sournoise ni de compétition, notion inexistante dans cet Art martial, mais en fait de progression commune dans l’étude et la pratique.
Respect réciproque de l’intégrité physique et morale du partenaire (pas d’attitude vengeresse ou dominatrice), mais sans compromis car il doit y avoir franchise dans les attaques et recherche d’une réelle efficacité dans la réplique. Ceci se fait non dans l’opposition force contre force mais de façon autrement plus raffinée, par la perception de l’énergie que le partenaire met en œuvre dans son attaque et sa prise de contrôle. Ceci ne peut passer que par un travail personnel constant, régulier, dans une ambiance de sérieux, de concentration et d’enthousiasme, tenant compte scrupuleusement et avec confiance de l’enseignement transmis et sans cesse amélioré par des générations successives de maîtres, du respect des traditions, d’un certain rituel permettant une mise en situation immédiate dans les conditions optima d’un travail sérieux et utile.
Ainsi, à titre personnel, la pratique régulière de l’Aïkido depuis à présent douze années consécutives, me permet de me concentrer deux à trois fois par semaine, d’années en années, sur une activité nécessitant obligatoirement (car pendant la pratique on ne peut penser à autre chose), de lâcher prise vis à vis du quotidien. Et ce au sein d’un groupe animé par le même désir de progrès personnels physiques, moral et peut-être même éthique, sans impression de déjà fait, tant la discipline offre de variétés, de possibilités de travail.
Difficile à trouver dans notre vie actuelle où l’agitation, la dispersion du corps et des esprits, l’à peu près, l’individualisme forcené deviennent de plus en plus des modes de fonctionnement habituels et hélas incontournables. L’Aïkido, à ce titre, offre, au minimum, des périodes privilégiées de retour à des attitudes plus, disons, raisonnables, et sur un degré supérieur, est peut-être, certainement même, une école de vie.
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Gasshuku Dinard 2025
Date : 8 au 11 mai
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Gasshuku Dinard 2024
Date : 17 au 20 mai
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Article NR du 11 décembre 2022
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Gasshuku Dinard 2022
Date : 3 juin au 6 juin
Gasshuku Dinard 2019
Date : 30 mai au 2 juin
Gasshuku Dinard 2018
Date : 18 au 21 mai.
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Parce qu'il faut savoir d'où l'on vient ....
Vous trouverez sous l'onglet Téléchargements/Divers la plaquette du 30ème anniversaire de la FFAB.
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Quelques photos du séjour au Japon de Eric, Marc et Mathias sont en ligne
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Sculpture d'un buste de Tamura Sensei par Fulbert.
Vous pourrez suivre l'évolution de sa réalisation sur son Blog
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Entraînement spécial, par groupes de niveaux, où chacun pourra travailler ses besoins particuliers du moment.
Les samedis de 15h00 à 18h00 :
- 19/10/2024
- 16/11/2024 Iaido de 13h45 à 15h00
- 14/12/2024 Iaido de 13h45 à 15h00
- 18/01/2025
- 01/02/2025
- 08/03/2025
- 05/04/2025
- 03/05/2025
- 24/05/2025
Dojo du gymnase des Hautes Varennes, en lieu et place des cours du matin.
Il n'y aura donc pas cours au Dojo habituel de Bois Foucher ces samedis-là.
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IAIDO
Avant les Tokubetsu geiko, (lorsque mentionné) de 13h45 à 15h00, cours de Iaïdo pour les volontaires
Dates ponctuelles au Dojo de Bois Foucher de 10h30 à 11h30
(Ce tableau sera complété au fil de l'eau)
- 07/12/24
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et bien sûr lors du Gasshuku des 8, 9, 10 et 11, mai 2025 à Dinard
CSDGE 17 septembre
- Hubert 5ème Dan
Examen 19 juin
- Hugo 4ème Kyu
- Touati 4ème Kyu
- Julien 2ème Kyu
- Samuel 2ème Kyu
Examen de Ligue 15 juin
- Antoine 1er Dan
- Rémi 1er Dan
- Sébastien 1er Dan
- Thomas 1er Dan
- Florian 2ème Dan
- Pascal 2ème Dan
Examen National 9 juin
- Marie Pierre 3ème Dan
- Mathias 4ème Dan
Examen 20 mars
- Alexandre 5ème Kyu
- Pascal 5ème Kyu
- Syméon 5ème Kyu
Examen 7 février
- Christophe 4ème Kyu
Examen 6 janvier
- Florian 1er Dan Aïkikaï
- Pascal 1er Dan Aïkikaï
Examen 13 décembre
- Valentine 5ème Kyu
- Samuel 3ème Kyu
Examen 29 novembre
- Julien 3ème Kyu
Félicitations à eux pour leur investissement dans la pratique