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Nouvelles


Voeux 2024 - par Didier le 01/01/2024 - 00:00

Voeux 2024

 

 

Miekakure

 

 

Cette année, pour le message de Nouvel An, j’ai choisi de porter à votre réflexion, ou plutôt introspection, trois koan Zen et un Mondo.

Un Koan est une brève anecdote Zen, souvent absurde, énigmatique ou paradoxale, ne sollicitant pas la logique ordinaire, impossible à résoudre de manière intellectuelle. Il procède d’une “méthode” particulière visant à interpeller les esprits.

Ce n’est pas un problème à résoudre dans un temps imparti mais une sorte d’énigme irrationnelle que l’on installe dans son esprit, et que l’on va laisser mûrir jusqu’à l’apparition de l’évidence.

Un Mondo est un échange dans lequel un Maître Zen répond aux questions d’un disciple sur des sujets de tel ou tel domaine, en évitant de recourir à des explications théoriques.

 

Koan Zen

  • « Le soleil de midi ne fait pas d’ombre »
  • « La clarté de la lune dépend de l’ombre des pins »
  • « Ne regarder pas les choses ordinaires de manière ordinaire »

 

Mondo

Zen et vie quotidienne  -  Taisen Deshimaru *

 

  • La pratique de la concentration dans l’acte de la perception visuelle

Lorsqu’est perçu un objet visuel (forme ou couleur), vous devez comprendre que celui-ci n’a pas plus de réalité que le reflet de la lune sur l’eau. Si cet objet visuel procure en vous une sensation plaisante, vous sentez alors s’éveiller des désirs ; et, inversement, vous ressentirez de la répulsion lorsque l’objet visuel produira en vous une sensation déplaisante. Mais, regardant cet objet avec l’acuité de la concentration, vous ne le verrez pas dans son apparence illusoire, mais simplement tel qu’il est, dans sa forme et couleur véritable, sans le moindre sentiment d’attirance ou de rejet. Ainsi ne tomberez-vous pas dans l’ignorance ni dans la confusion, fruits de la mémoire discriminante.

Par cette attitude vous pouvez faire décroitre vos désirs et attachements passés. Cela est nommé concentration dans l’acte de la perception visuelle.

  • La pratique de l’observation

Notre ignorance karmique confère au monde des apparences phénoménales une réalité tangible ; cette confusion née de la conscience discriminante, fait apparaître sensations et perfections appréciatives, lesquelles conditionnent l’apparition d’actions bonnes ou mauvaises. Sachant cela, et sachant que, dans leur essence, les six racines (les six organes des sens) sont vides, vous comprendrez que ne peuvent exister ni objet perceptible ni conscience perceptive, et que, par conséquent, le « moi » qui perçoit et toutes les existences sont ku (vacuité, vide). Cela est nommé observations dans l’acte de la perception visuelle.

La calligraphie ci-dessus sera disposée au Kamiza cette année.

明けましておめでとう ございます

Akemashite omedetô gozaimasu

Bonne Année.

 

Didier

 

 

*  Né au Japon en 1914, Taisen Deshimaru grandit auprès de sa mère et de son grand-père, ancien samouraï. Il fut pratiquant de Yawara (Judo martial d’avant guerre) et de Kendo.

Dans sa jeunesse, il rencontre Kodo Sawaki, grand maitre du Zen Soto, et suit son enseignement. Il est ordonné moine par celui-ci, qui lui demande de se rendre en Europe et d'y répandre la pratique du Zen.

Il fonde de nombreux Dojo en Europe et à travers le monde dont les principaux en France étaient les Dojo de Paris et de Lyon. Il fonde également le Temple de la Gendronnière (à côté de Blois) et l'A.Z.I. (Association Zen Internationale).

D’ailleurs, Tamura sensei s’est également rendu au Dojo Zen de la Gendronnière pour des démonstrations d’Aïkido.

C’est la Sangha (communauté des moines) de la Gendronnière qui officiait, en septembre 2010, lors de la cérémonie boudhiste au Shumeikan Dojo de Bras pour le 49 ème jour du décès de Tamura sensei.

 



















Voeux 2023 - par Didier le 01/01/2023 - 00:00

Voeux 2023

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Calligraphie Takemusu Aiki.jpg

Takemusu Aïki, signé Morihei

Calligraphie peinte par O Sensei Ueshiba vers la fin de sa vie

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武産合気   Takemusu aïki

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Take  signifie martial. On peut d’ailleurs constater que l’idéogramme Take est exactement le même que Bu de Budo 武道, qui, comme chacun sait, a pour sens Voie martiale.

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  Musu  est la contraction de musubi qui traduit la capacité de créer une relation entre les individus.

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  désigne l'harmonie.

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  Ki est l'énergie vitale.

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On pourrait donc traduire, mot à mot, par harmoniser l’énergie en s’unifiant pour traiter une situation martiale.

La définition communément admise est : Aï ki, force créatrice de techniques martiales.

Takemusu Aïki fait référence au plus haut niveau d’exécution des techniques d’Aïkido, littéralement Aï ki source des techniques martiales.

Cela correspond à la possibilité de création de nouvelles techniques de façon naturelle et spontanée après assimilation complète des principes fondamentaux qui les composent. Le Fondateur de l’Aïkido parlait essentiellement de Takemusu Aïki dans les dernières années de sa vie. Il disait Takemusu Aïki vous fera savoir si vos techniques sont vivantes ou mortes, et il utilisait fréquemment les quatre idéogrammes composant Takemusu Aïki dans ses calligraphies.

O Sensei a écrit « Takemusu est la mise en harmonie du feu et de l'eau de la création ».

Takemusu est la production d'une manifestation par l'union du Yin et du Yang (In et Yo en japonais).

En Aikido, Yang le feu, c'est irimi, et Yin, l'eau, c'est tenkan. Grâce à la mise en harmonie d'irimi et de tenkan, l'Aikidoka crée une forme juste, parfaitement conforme au processus de la création universelle. Takemusu est le principe au coeur de l'Aikido. Et il ne peut pas y avoir d'Aikido sans Takemusu.

L’étude de l’Aïkido comporte un grand nombre de techniques lorsqu’elles sont combinées aux différentes situations rencontrées et types d’attaques.

Mais sa richesse ne réside pas là. C’est bien cette capacité d’apporter une réponse juste à une situation inopinée et imprévisible, cette force créatrice qui mettra en œuvre la technique ou la stratégie appropriée à la résolution de la situation, qui est essentielle.

Pour cela la méthode d’entraînement est primordiale.

Les mouvements de base sont très importants car ils conditionnent la bonne exécution de toute technique d’Aïkido. Même s’ils paraissent simples et que l’on n’en comprend pas le sens au départ, ils doivent être pratiqués à chaque entraînement.

Faute de maîtrise de ces mouvements de base, il n’y aura pas de progression satisfaisante, même après de longues années de pratique.

Le travail de ces qualités dans un contexte d’entraînement complexe développe des capacités bien utiles dans la vie courante. Notamment, face à des situations du quotidien compliquées, plutôt que de se laisser saturer d’idées pouvant conduire à la panique, savoir revenir aux fondamentaux pour assainir sereinement la situation.

Pour contextualiser cette méthode d’entraînement vous pouvez lire un article sur le Godaï, la théorie japonaise des cinq éléments, que j’ai publié dans le magazine Isan numéro 4. La méthode d’entraînement préconisée par Tamura Sensei y est décrite.

La calligraphie Takemusu Aiki sera disposée au Kamiza cette année.

明けましておめでとう ございます

Akemashite omedetô gozaimasu

Bonne Année.

Didier


Voeux 2022 - par Didier le 01/01/2022 - 00:00

Voeux 2022

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Calligraphie_2022.JPG

Shoshin, l’esprit du débutant

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Dans toutes les disciplines japonaises devenues Voies, c'est-à-dire celles dont le nom se termine par do (Idéogramme Do.JPG), c’est un des principes essentiels. Il en va ainsi pour des activités aussi diverses que la calligraphie (Shodo), ou l’arrangement floral (Kado), ou la Voie du thé (Chado). Mais aussi  du Budo, Voie martiale, dont fait partie l’Aïkido.

Au Japon toutes ces pratiques reposant sur des valeurs et idéaux spirituels constituent une véritable Voie, un cheminement qui mène à  la connaissance et la maîtrise de soi, à une prise de conscience de la place de l'homme dans l'univers. La maîtrise du geste doit être un acte spontané, naturel, que des années de pratiques permettent d'exécuter sans effort, sans allers et venues inutiles. Si ce principe est particulièrement évident dans le Budo en général et dans l’Aïkido en particulier, il l’est également dans un art tel que la calligraphie, où un caractère doit être peint en un seul souffle, et où tout retour en arrière ou correction est impossible. Autre caractéristique commune, ces arts reposent sur la transmission de « kata », c'est à dire un registre de formes codifiées. Ces « kata » sont transmis par apprentissage, l'accent étant mis sur la pratique, beaucoup plus que sur le discours. En fait il s'agit plutôt d'une initiation, car c’est à chacun, de part son travail et ses recherches personnelles, de découvrir et parcourir pas à pas ce chemin.

Pour ce qui concerne l’Aïkido, la Voie a été tracée par O Sensei Ueshiba et Tamura Sensei n’a eu de cesse de nous y guider. Mais il serait illusoire de se contenter de copier l’aspect apparent de la technique. Tout comme d’imaginer prendre la Voie en route, à partir de ce que faisait O Sensei à la fin de sa vie. Il est nécessaire, indispensable, de commencer le chemin au début et d’avancer pas après pas en franchissant les innombrables écueils, comme l’ont fait nos prédécesseurs. C’est en surmontant toutes les épreuves rencontrées, de par les expériences accumulées, que l’on pourra peu à peu évoluer en profondeur.

« De l’homme ordinaire qui n’a pas trouvé sa Voie nous pouvons dire que dès le commencement il n’a fait preuve d’aucune sagesse et qu’il n’en aura jamais, quelles que soient les circonstances. La sagesse ultime, qui se trouve dissimulée dans le plus éloigné des lieux, ne lui appartiendra jamais. »

Takuan Soho Maître Zen du 16 ème siècle

Mais il ne faut pas se tromper de direction. Dans le cas contraire tout pas éloignerait du but.  Seule la concentration permet de ne pas se disperser.

Lorsque l’on commence l’étude d’une discipline  on ne s’attache qu’à l’aspect extérieur des choses, l’esprit n’est pas encombré et ne s’arrête sur aucun point. Puis au fur et à mesure de l’apprentissage celui-ci se fixe sur de nombreuses phases de la technique. Plus tard, alors que les jours s’ajoutent aux jours et que le temps passe, que s’enrichit sa pratique, ni les postures de corps ni les manières de tenir le sabre n’encombrent plus l’esprit du pratiquant. Il est à nouveau comme au jour où il n’était qu’un simple débutant qui ne connaissait rien et avait tout à apprendre. Tout pratiquant sincèrement engagé et déterminé quitte un jour le domaine du débutant, puis il revient en arrière pour retomber au niveau du débutant. L’intellect perd sa fonction et il se retrouve sans esprit, sans pensée. Mais ce retour en arrière ne concerne que la forme de l’apprentissage. Le pratiquant se situant désormais à un autre niveau de conscience, non-conscience, développera des capacités débouchant sur une vision éclairée du monde qui nous entoure, et interagira avec lui de manière intuitive. C’est en cela qu’il est possible de dire que le début est semblable à la fin, comme lorsque l’on compte de 0 à 10 et que le premier et le dernier chiffre deviennent contigus.

L’apprentissage technique, dans le Budo, consiste à s’entraîner encore et encore. Mais bien que maîtrisant la technique, s’il n’y a pas une compréhension des principes les plus profonds, il y aura manque d’efficacité. La technique et le principe sont comme les deux roues d’une charrette. Cependant cette Voie est semée d’embuches. Plus on avance et plus le champ des possibles s’élargit. Un expert peut, par excès de confiance, se trouver en échec mais ne pas l’admettre. Tandis qu’un débutant, au contraire, aura à cœur de ne plus commettre la même erreur en se posant mille questions sur son comportement face à une situation. Pratiquer le shoshin permet de tenir à distance le plus gros obstacle à l’apprentissage : notre ego.

L’ancienneté et les réussites passées ne garantissent rien face à un problème inédit. Parce qu’il ne peut rien apprendre, celui qui croit tout savoir est extrêmement fragile. L’esprit du débutant peut épargner ce piège. Se tenir fermement à l’esprit du débutant est essentiel dans l’accomplissement de ses propres études. Mais  cette détermination est très vulnérable à la renommée, la position, ou le rang, et peut être perdue par l’arrogance et la vanité. Shoshin au contraire induit une attitude de sincérité, modestie, humilité, abnégation. Un esprit modeste est celui qui reconnaît la profondeur du chemin, connaît la peur, et connaît l’existence de quelque chose au delà de sa propre réalité, tout en continuant à prendre en main son développement interne.

Alors à tous je souhaite pour 2022 de continuer à s’entraîner avec l’esprit du débutant, en capitalisant sur les épreuves passées pour surmonter celles à venir, et ainsi avancer sur son chemin.

L’important c’est le chemin. La technique n’est que le moyen,  le but est le chemin. 

Pour nous le rappeler la calligraphie Shoshin sera disposée au Kamiza du Dojo cette année.

明けましておめでとう ございます

Akemashite omedetô gozaimasu

Bonne Année.

Didier

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Voeux 2021 - par Didier le 01/01/2021 - 00:00

Voeux 2021

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Calligraphie Hikari_0001.jpg

HIKARI (Lumière)

Calligraphie tracée vers la fin de sa vie par O Sensei

Monogramme UESHIBA Morihei en bas, signé Morihei à gauche

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Tous les ans nous fêtons kagami biraki début janvier, comme il se doit, même si cette fois ce sera très particulier.

Kagami biraki signifie ouvrir le miroir. A l’aube de la nouvelle année il s’agit de regarder, examiner ce que l’on a fait l’année écoulée. De bien comme de mal. Après en avoir réalisé le bilan et tiré les enseignements, on brise le miroir et prend de bonnes résolutions pour l’année à venir.

Alors observons ce miroir.

L’année 2020 a commencé sous de bons auspices, avec des festivités de kagami biraki encore plus importantes qu’à l’accoutumée, puisque nous en avons profité pour célébrer le 40 ème anniversaire du Dojo, créé en septembre 1979. Cette journée a réuni les pratiquants bien sûr, mais aussi leurs familles, et a été honorée de la présence de Michel Bénart, membre du Comité directeur fédéral et de Philippe Lacour, président de la Ligue Centre-Val de Loire FFAB. Bref une journée en différents temps où à une pratique intensive succédaient la remise des diplômes selon un protocole rigoureux, puis une soirée animée de documents photographiques rétrospectifs pendant laquelle nous partagions un repas japonais concocté par Takayoshi.

Ensuite la vie habituelle du Dojo a repris son cours jusqu’au 17 mars, date de début du confinement imposé par la prolifération incontrôlée du Covid-19. Dès que celui-ci a été levé, le 11 mai, nous avons repris nos entraînements en respectant naturellement les directives des autorités. C’est ainsi que jusque fin juillet nous avons travaillé en extérieur, par groupes de 10, sur un terrain privé au bord de l’Indre. Nous avons approfondi le travail des armes, ce qui permettait de conserver une distance entre les participants, mesure qui avec le port du masque et l’utilisation de son matériel personnel garantissait une sécurité optimale.

Le 26 août nous avons repris les cours au Dojo avec un protocole sanitaire bien plus rigoureux que celui préconisé par les pouvoirs publics. Nous avons mis en place une prise de température à l’entrée du Dojo, le port du masque pendant la pratique, la fourniture de gel hydro-alcoolique par le club, la désinfection des tatamis par nous-mêmes pour une pratique sereine.

Et le dimanche 30 août, alors que la veille il était sur le tatami en pleine forme, Serge est décédé subitement, nous laissant abasourdis. La pratique, intégrant des hommages, s’est poursuivie jusqu’au 30 octobre, date de début d’un nouveau confinement.

Puis sitôt la levée du confinement annoncée le 15 décembre, nous avons organisé la reprise des entraînements sur le vaste espace goudronné qui entoure le Dojo. Malgré la période hivernale et une météo exécrable ce jour là, le premier cours très apprécié s’est déroulé le 19 décembre.

Mais si 2020 a été une année où les épreuves se sont succédées, cela a mis en évidence la capacité du Dojo à s’adapter en temps réel aux différentes situations et à leur évolution. Face aux flots d’informations, désinformations, à la cacophonie générale à tous les niveaux, nous avons géré cette période avec lucidité et efficacité. Nous avons pu concilier la pratique et tous les entraînements, hors périodes de confinement strict, avec l’impératif sanitaire.

Lucidité, efficacité, ces mots sont indissociables dans un Budo, à fortiori dans l’Aïkido, et se nourrissent l’un et l’autre, l’un de l’autre. Une pratique en profondeur, sincère, rigoureuse, sans tricher permet de développer ces qualités bien utiles dans tous les domaines de la vie. Mais c’est seulement face à la tourmente que l’on sait si le chemin suivi est le bon.

Je me souviens des paroles de Tamura Sensei lors d’un stage à mes débuts : « l’Aïkido c’est voir une image claire sur la télévision alors que l’écran est complètement recouvert de parasites ». Bien sûr c’était du temps de l’ORTF et des écrans cathodiques. Aujourd’hui l’aspect des images est parfait mais les parasites n’en sont que plus pernicieux.

A l’époque cette phrase m’avait interpelé et paru bien étrange. Mais quelques décennies plus tard, après quasiment un demi siècle d’un travail sans concession, j’en mesure toute la porté au quotidien.

Alors à tous je souhaite pour 2021 de continuer à s’entraîner avec détermination pour éclairer de mieux en mieux son chemin.

La calligraphie HIKARI sera disposée au Kamiza cette année.

明けましておめでとう ございます

Akemashite omedetô gozaimasu

Bonne Année.

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Didier

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Décès de Serge - par Didier le 18/09/2020 - 14:55

Décès de Serge

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Serge sous la neige.JPG

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Serge Gillon nous a quitté brutalement le 30 août à l’âge de 56 ans.

Serge était membre de l’Aïkidojo de Monts depuis 23 ans, dojo dont il fut également le président pendant 6 ans. Ceinture noire 3èmedan UFA mais aussi 2ème dan Aïkikaï, il assurait avec sérieux son rôle d’encadrant sans jamais se départir de son humour et de sa bienveillance. Serge était apprécié de tous et fait partie des piliers de notre dojo.

Le jour de ses funérailles, Didier lui a rédigé et lu une lettre, dernier hommage officiel du Dojo à notre regretté Serge.

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Portrait-Serge.jpg

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Hommage  du Dojo à Serge, prononcé lors de la cérémonie funéraire du 7 septembre 2020

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Serge, je me souviens de notre première rencontre, lorsque tu as poussé la porte du Dojo. C’était le 23 octobre 1997. Cela fait 23 ans.

Depuis lors tu as toujours travaillé assidûment, avec sérieux, pour progresser dans la voie que tu as choisie. Au fil du temps tu as franchi des étapes, passer des examens, dont le 3ème dan le 9 juin 2019.

Mais ce n’est pas le plus important. Tu as surtout incarné les valeurs humanistes de notre discipline et les as faites rayonner autour de toi.

Ces valeurs de rigueur, de bienveillance, d’attention aux autres et de partage que tu manifestais par ton implication, ont marqué la vie du Dojo. Tu as toujours été volontaire et actif lors de l’organisation des diverses animations. Pour aller plus loin encore, tu t’es investi pleinement au sein du conseil d’administration de notre association.

Et puis, soucieux de transmettre ton expérience, tu as préparé et obtenu le Brevet fédéral d'enseignement de l’Aïkido. Tes qualités ont fait que tu as naturellement été intégré dans la commission technique. Nombreux sont ceux qui ont apprécié de s’entraîner avec toi.

Cela, c’est pour le passé.

Mais au présent tu es, et tu seras toujours, un pilier de notre Dojo, un compagnon de route et surtout un ami sincère, loyal. Car les valeurs que tu as faites tiennes sont intemporelles et resteront à jamais présentes, au quotidien, au sein du Dojo. Tu as très largement contribué à l’histoire de notre Dojo, tu fais partie de l’histoire de ce Dojo.

Merci Serge d’avoir été ce que tu es.

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INSCRIPTIONS

Saison 2023/2024
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Enseignement

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Plan d'accès

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Horaires des cours

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Fiche d'inscription

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Contact

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Affiche

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INFORMATIONS

 

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Voeux 2024

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Gasshuku Dinard 2024

Date : 17 au 20 mai

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Article NR du 11 décembre 2022

Article NR du 7 mai 2020

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Gasshuku Dinard 2022

Date : 3 juin au 6 juin 

Compte-rendu

 

Aiki Gasshuku 2015 15.jpg

 

Gasshuku Dinard 2019

Date : 30 mai au 2 juin 

Compte-rendu

Rapport technique

Gasshuku Dinard 2018

Date : 18 au 21 mai.

Compte-rendu

Rapport technique

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Parce qu'il faut savoir d'où l'on vient ....
Vous trouverez sous l'onglet Téléchargements/Divers la plaquette du 30ème anniversaire de la FFAB.

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Quelques photos du séjour au Japon de Eric, Marc et Mathias sont en ligne

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Sculpture d'un buste de Tamura Sensei par Fulbert.

Sculpture-Tamura-Sensei-V3.jpg

Vous pourrez suivre l'évolution de sa réalisation sur son Blog

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TOKUBETSU KEIKO

          Ideogramme Tokubetsu Keiko 1.jpg

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Entraînement spécial, par groupes de niveaux, où chacun pourra travailler ses besoins particuliers du moment.

Les samedis de 15h00 à 18h00 :

- 14/10/2023

- 11/11/2023 (pas de Iaido)

- 09/12/2023 (pas de Iaido)

- 13/01/2024 (pas de Iaido)

- 17/02/2024

- 16/03/2024

- 13/04/2024

- 25/05/2024

Dojo du gymnase des Hautes Varennes, en lieu et place des cours du matin.

Il n'y aura donc pas cours au Dojo habituel de Bois Foucher ces samedis-là.

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IAIDO

- Avant chaque Tokubetsu geiko, (sauf exception) de 14h00 à 15h00, cours de Iaïdo pour les volontaires

Dates ponctuelles au Dojo de Bois Foucher de 7h00 à 8h00

(Ce tableau sera complété au fil de l'eau)

- 25/11/2023

- 16/12/2023

- 27/01/2024

et bien sûr lors du Gasshuku des 18, 19 et 20 mai 2024 à Dinard


RESULTATS GRADES

Examen 20 mars

- Alexandre 5ème Kyu

- Pascal 5ème Kyu

- Syméon 5ème Kyu

Examen 7 février

- Christophe 4ème Kyu

Examen 6 janvier

- Florian 1er Dan Aïkikaï

- Pascal 1er Dan Aïkikaï

Examen 13 décembre

- Valentine 5ème Kyu

- Samuel 3ème Kyu

Examen 29 novembre

- Julien 3ème Kyu







Félicitations à eux pour leur investissement dans la pratique.